Et pour un philosophe athée radical qui se prend pour Nietzsche et professe une haine ontologique du christianisme, Onfray récite pourtant tout le petit catéchisme sur l'homosexualité (qui est d'ailleurs un point commun des trois monothéismes).
Imaginerait-on Sartre ou Glucksmann se livrer bassement à l'injure de bistrot?
Michel Onfray confond philosophie et outrage, satire et grossièreté, argumentation et algarade.
Il se caricature lui-même et le portrait qu'il nous donne de lui est bien laid.
L’anti-macronisme n’autorise pas tout. Une merde emballée dans du papier brillant labellisé “Philo” reste une merde.
Jugez en vous-mêmes...
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